La formation continue apparaît comme une possibilité de positionnement de l'individu, selon ses aspirations professionnelle, culturelle, économique, sociale etc. d'accéder à l'enseignement supérieur selon le moment choisi. En République Centrafricaine cette possibilité est quasi-inexisante en l'absence d'une politique publique forte et l'insuffisance des établissements d'enseignement supérieur. Cette situation génère des frustrations parmis les fonctionnaires qui manifestent leur souhait d'accéder à l'enseignement supérieur afin d'améliorer leur statut ou leur carrière.